Des parents stressés racontent leur bataille en enfer pour acheter de nouveaux uniformes scolaires
news-24.fr
Des parents stressés ont été bloqués dans des files d’attente de huit heures cette semaine alors qu’ils se précipitaient pour acheter des uniformes scolaires de dernière minute avant le début du trimestre.
Des centaines d’acheteurs ont afflué vers les pourvoiries de toute la Grande-Bretagne au petit matin pour éviter les énormes temps d’attente qui s’empilaient alors que le personnel limitait le nombre de clients autorisés à l’intérieur en raison de l’éloignement social.
À Croydon, dans le sud de Londres, des parents frustrés sont arrivés dès 5 h 15 pour acheter les vêtements nécessaires pour leurs enfants, les résidents insistant sur le fait que «nous avons besoin de plus de magasins d’uniformes».
Un panneau à l’extérieur de Hewitts of Croydon, qui fournit des uniformes à 80 écoles, a averti les parents qu’ils ne seraient pas garantis d’entrer dans le magasin s’ils arrivaient après 15 heures.
Cependant, un parent furieux a exhorté le magasin à « employer plus de personnel », affirmant que les personnes arrivant à 10 heures du matin n’entraient dans le magasin qu’à 15 heures.
Des parents stressés ont été bloqués dans des files d’attente de huit heures cette semaine alors qu’ils se précipitaient pour acheter des uniformes scolaires de dernière minute avant le début du trimestre. Sur la photo: Lignes à Eastleigh, Hampshire
À Croydon, dans le sud de Londres (photo mardi), des parents frustrés sont arrivés hier à 5 h 15 du matin pour acheter les vêtements nécessaires pour leurs enfants, les résidents insistant sur le fait que « nous avons besoin de plus de magasins d’uniformes »
Des scènes similaires ont été repérées à Eastleigh, Hampshire, où des acheteurs ont été vus faisant la queue sous une pluie battante devant une pourvoirie la semaine dernière.
Et à l’extérieur de Stevensons à Southbourne, près de Bournemouth, des files d’attente de trois heures se sont formées alors que des parents désespérés se démenaient pour obtenir les articles nécessaires à leurs enfants.
Une autre femme a signalé des files d’attente allant jusqu’à huit heures devant son magasin d’uniformes local, écrivant: « Il n’y a qu’un seul magasin qui vend des uniformes scolaires là où nous vivons.
«Il y a actuellement des files d’attente de huit heures devant la porte et aucun système de billetterie. Donc, si vous avez fait la queue toute la journée et que vous n’êtes pas entré, vous ne serez pas le premier à faire la queue le lendemain.
«Il y a des gens qui font la queue depuis des jours.
À l’extérieur de Stevensons à Southbourne, près de Bournemouth, des files d’attente de trois heures se sont formées alors que des parents désespérés se démenaient pour obtenir les articles nécessaires pour leurs enfants
Un panneau à l’extérieur de Hewitts of Croydon, qui fournit des uniformes à 80 écoles, a averti les parents qu’ils ne seraient pas garantis d’entrer dans le magasin s’ils arrivaient après 15 heures.
À Croydon, les clients de Hewitts ont déclaré avoir fait la queue devant le magasin pour le quatrième jour consécutif après avoir été renvoyés du magasin lors de sa fermeture à 17 heures.
Une femme, essayant d’acheter un uniforme pour sa fille de 12 ans, a déclaré à My London qu’elle avait attendu plus de trois heures à chaque fois et dépensé 40 £ pour se garer.
Mais Martin Hewitt, qui dirige le détaillant, a déclaré que lui et 35 membres du personnel travaillaient dur pour répondre à l’énorme demande. Il a ajouté que seuls 10 clients pouvaient être dans la boutique à la fois au lieu des 40 habituels.
Le personnel n’est pas non plus autorisé à mesurer les uniformes des étudiants en raison de l’éloignement social et tout article retourné doit être mis en quarantaine pendant 48 heures.
Neil Garratt, candidat conservateur à l’Assemblée de Londres pour Croydon et Sutton, a déclaré qu’il avait vu des files d’attente similaires devant Cladish Schoolwear à Wallington, Londres.
Il a déclaré: «C’est ridicule. Les écoles qui obligent les parents à acheter des uniformes dans un seul magasin ne peuvent pas s’en laver les mains: elles ont créé le problème, elles doivent s’arrêter pour trouver une solution.
«Ce n’est pas ça.
À Bournemouth, ceux qui se trouvaient à l’extérieur de Stevensons ont signalé une «montée des tensions» alors que les gens se précipitaient pour se procurer des uniformes et des vêtements de sport avant le début du trimestre.
Natasha Sanders-Jones a déclaré au Bournemouth Echo qu’elle attendait d’entrer dans le magasin depuis deux heures et demie hier après avoir conduit chez le détaillant de Poole.
Elle a déclaré: « J’ai dû conduire ici depuis Poole parce que c’est le seul endroit pour obtenir l’uniforme de Poole High et de Poole Grammar.
Neil Garratt, candidat conservateur à l’Assemblée de Londres pour Croydon et Sutton, a déclaré qu’il avait vu des files d’attente similaires devant Cladish Schoolwear à Wallington, Londres.
«Au moment où je rentrerai à la maison, j’aurai fait un aller-retour d’au moins quatre heures juste pour obtenir quelques morceaux.
Susan Elsworth a ajouté: « Nous sommes passés devant le magasin hier et avons vu une grande file d’attente, nous avons donc pensé que nous reviendrions aujourd’hui, mais c’est tout aussi grave.
«Malheureusement, nous n’avons pas le choix car nous avons besoin d’un uniforme d’Avonbourne et c’est le seul endroit pour en obtenir un.
Le magasin était ouvert aux clients sur rendez-vous uniquement jusqu’au 24 août, date à laquelle il a ouvert aux acheteurs sans rendez-vous.
De longues files d’attente étaient également monnaie courante dans d’autres régions du Royaume-Uni, des dizaines de personnes se rendant sur les réseaux sociaux pour se plaindre de l’attente.
« Ces files d’attente pour acheter l’uniforme scolaire sont une raison suffisante pour ne pas avoir d’enfants », a déclaré un utilisateur.
Un autre a ajouté: « Ma femme et mon plus jeune fils font la queue depuis 30 minutes pour acheter son uniforme d’université de sixième, toujours sept devant eux.
« Le blazer seul coûte 65 £, durera-t-il jusqu’à Noël? (Pas le blazer).
De longues files d’attente étaient également monnaie courante dans d’autres régions du Royaume-Uni, des dizaines de personnes se rendant sur les réseaux sociaux pour se plaindre de l’attente.
D’autres étaient plus préparés, une mère expliquant qu’elle était venue préparée pour l’attente avec un café et son Kindle.
Des milliers d’élèves se préparent à retourner à l’école la semaine prochaine – beaucoup pour la première fois depuis que la crise des coronavirus a fermé les salles de classe en mars.
Les enfants doivent revenir pour le trimestre d’automne à moins qu’eux-mêmes ou un membre de la famille ne développent des symptômes de Covid-19 ou ne soient testés positifs pour le virus.
Des sanctions pourraient être imposées à ceux qui manquent l’école sans raison, a confirmé le secrétaire à l’Éducation Gavin Williamson en juin.
Un père a déclaré: « Ma femme et mon plus jeune fils font la queue depuis 30 minutes pour acheter son uniforme de sixième, toujours sept devant eux. Le blazer seul coûte 65 £, durera-t-il jusqu’à Noël? (Pas le blazer) ‘
Il a été rapporté mardi que des milliers d’élèves du secondaire devront porter des masques à l’école dans un autre virage scolaire.
À quelques jours seulement du retour des enfants, M. Williamson a déclaré que les masques faciaux seraient obligatoires dans les zones communes des écoles couvertes par des verrouillages locaux.
La décision de porter ou non des masques dans d’autres écoles sera laissée aux chefs individuels.
Le demi-tour de onzième heure a suivi les nouveaux conseils de l’Organisation mondiale de la santé ce week-end.
Il a déclaré: «Notre priorité est de ramener les enfants à l’école en toute sécurité. À chaque étape, nous avons écouté les derniers avis médicaux et scientifiques.
«Nous avons donc décidé de suivre les nouveaux conseils de l’Organisation mondiale de la santé. Dans les zones de confinement locales, les enfants de sept ans et plus doivent porter des masques faciaux dans les espaces communs.
« En dehors des zones de confinement locales, les couvertures faciales ne seront pas nécessaires dans les écoles, bien que les écoles auront la flexibilité d’introduire des mesures si elles estiment que cela convient à leurs circonstances spécifiques.
«J’espère que ces mesures permettront aux parents, aux élèves et aux enseignants de se rassurer davantage.
À Croydon, dans le sud de Londres, des parents frustrés sont arrivés dès 5 h 15 pour acheter les vêtements nécessaires pour leurs enfants, les résidents insistant sur le fait que «nous avons besoin de plus de magasins d’uniformes».
Un panneau à l’extérieur de Hewitts of Croydon, qui fournit des uniformes à 80 écoles, a averti les parents qu’ils ne seraient pas garantis d’entrer dans le magasin s’ils arrivaient après 15 heures.
Cependant, un parent furieux a exhorté le magasin à « employer plus de personnel », affirmant que les personnes arrivant à 10 heures du matin n’entraient dans le magasin qu’à 15 heures.
Des parents stressés ont été bloqués dans des files d’attente de huit heures cette semaine alors qu’ils se précipitaient pour acheter des uniformes scolaires de dernière minute avant le début du trimestre. Sur la photo: Lignes à Eastleigh, Hampshire
À Croydon, dans le sud de Londres (photo mardi), des parents frustrés sont arrivés hier à 5 h 15 du matin pour acheter les vêtements nécessaires pour leurs enfants, les résidents insistant sur le fait que « nous avons besoin de plus de magasins d’uniformes »
Des scènes similaires ont été repérées à Eastleigh, Hampshire, où des acheteurs ont été vus faisant la queue sous une pluie battante devant une pourvoirie la semaine dernière.
Et à l’extérieur de Stevensons à Southbourne, près de Bournemouth, des files d’attente de trois heures se sont formées alors que des parents désespérés se démenaient pour obtenir les articles nécessaires à leurs enfants.
Une autre femme a signalé des files d’attente allant jusqu’à huit heures devant son magasin d’uniformes local, écrivant: « Il n’y a qu’un seul magasin qui vend des uniformes scolaires là où nous vivons.
«Il y a actuellement des files d’attente de huit heures devant la porte et aucun système de billetterie. Donc, si vous avez fait la queue toute la journée et que vous n’êtes pas entré, vous ne serez pas le premier à faire la queue le lendemain.
«Il y a des gens qui font la queue depuis des jours.
À l’extérieur de Stevensons à Southbourne, près de Bournemouth, des files d’attente de trois heures se sont formées alors que des parents désespérés se démenaient pour obtenir les articles nécessaires pour leurs enfants
Un panneau à l’extérieur de Hewitts of Croydon, qui fournit des uniformes à 80 écoles, a averti les parents qu’ils ne seraient pas garantis d’entrer dans le magasin s’ils arrivaient après 15 heures.
À Croydon, les clients de Hewitts ont déclaré avoir fait la queue devant le magasin pour le quatrième jour consécutif après avoir été renvoyés du magasin lors de sa fermeture à 17 heures.
Une femme, essayant d’acheter un uniforme pour sa fille de 12 ans, a déclaré à My London qu’elle avait attendu plus de trois heures à chaque fois et dépensé 40 £ pour se garer.
Mais Martin Hewitt, qui dirige le détaillant, a déclaré que lui et 35 membres du personnel travaillaient dur pour répondre à l’énorme demande. Il a ajouté que seuls 10 clients pouvaient être dans la boutique à la fois au lieu des 40 habituels.
Le personnel n’est pas non plus autorisé à mesurer les uniformes des étudiants en raison de l’éloignement social et tout article retourné doit être mis en quarantaine pendant 48 heures.
Neil Garratt, candidat conservateur à l’Assemblée de Londres pour Croydon et Sutton, a déclaré qu’il avait vu des files d’attente similaires devant Cladish Schoolwear à Wallington, Londres.
Il a déclaré: «C’est ridicule. Les écoles qui obligent les parents à acheter des uniformes dans un seul magasin ne peuvent pas s’en laver les mains: elles ont créé le problème, elles doivent s’arrêter pour trouver une solution.
«Ce n’est pas ça.
À Bournemouth, ceux qui se trouvaient à l’extérieur de Stevensons ont signalé une «montée des tensions» alors que les gens se précipitaient pour se procurer des uniformes et des vêtements de sport avant le début du trimestre.
Natasha Sanders-Jones a déclaré au Bournemouth Echo qu’elle attendait d’entrer dans le magasin depuis deux heures et demie hier après avoir conduit chez le détaillant de Poole.
Elle a déclaré: « J’ai dû conduire ici depuis Poole parce que c’est le seul endroit pour obtenir l’uniforme de Poole High et de Poole Grammar.
Neil Garratt, candidat conservateur à l’Assemblée de Londres pour Croydon et Sutton, a déclaré qu’il avait vu des files d’attente similaires devant Cladish Schoolwear à Wallington, Londres.
«Au moment où je rentrerai à la maison, j’aurai fait un aller-retour d’au moins quatre heures juste pour obtenir quelques morceaux.
Susan Elsworth a ajouté: « Nous sommes passés devant le magasin hier et avons vu une grande file d’attente, nous avons donc pensé que nous reviendrions aujourd’hui, mais c’est tout aussi grave.
«Malheureusement, nous n’avons pas le choix car nous avons besoin d’un uniforme d’Avonbourne et c’est le seul endroit pour en obtenir un.
Le magasin était ouvert aux clients sur rendez-vous uniquement jusqu’au 24 août, date à laquelle il a ouvert aux acheteurs sans rendez-vous.
De longues files d’attente étaient également monnaie courante dans d’autres régions du Royaume-Uni, des dizaines de personnes se rendant sur les réseaux sociaux pour se plaindre de l’attente.
« Ces files d’attente pour acheter l’uniforme scolaire sont une raison suffisante pour ne pas avoir d’enfants », a déclaré un utilisateur.
Un autre a ajouté: « Ma femme et mon plus jeune fils font la queue depuis 30 minutes pour acheter son uniforme d’université de sixième, toujours sept devant eux.
« Le blazer seul coûte 65 £, durera-t-il jusqu’à Noël? (Pas le blazer).
De longues files d’attente étaient également monnaie courante dans d’autres régions du Royaume-Uni, des dizaines de personnes se rendant sur les réseaux sociaux pour se plaindre de l’attente.
D’autres étaient plus préparés, une mère expliquant qu’elle était venue préparée pour l’attente avec un café et son Kindle.
Des milliers d’élèves se préparent à retourner à l’école la semaine prochaine – beaucoup pour la première fois depuis que la crise des coronavirus a fermé les salles de classe en mars.
Les enfants doivent revenir pour le trimestre d’automne à moins qu’eux-mêmes ou un membre de la famille ne développent des symptômes de Covid-19 ou ne soient testés positifs pour le virus.
Des sanctions pourraient être imposées à ceux qui manquent l’école sans raison, a confirmé le secrétaire à l’Éducation Gavin Williamson en juin.
Un père a déclaré: « Ma femme et mon plus jeune fils font la queue depuis 30 minutes pour acheter son uniforme de sixième, toujours sept devant eux. Le blazer seul coûte 65 £, durera-t-il jusqu’à Noël? (Pas le blazer) ‘
Il a été rapporté mardi que des milliers d’élèves du secondaire devront porter des masques à l’école dans un autre virage scolaire.
À quelques jours seulement du retour des enfants, M. Williamson a déclaré que les masques faciaux seraient obligatoires dans les zones communes des écoles couvertes par des verrouillages locaux.
La décision de porter ou non des masques dans d’autres écoles sera laissée aux chefs individuels.
Le demi-tour de onzième heure a suivi les nouveaux conseils de l’Organisation mondiale de la santé ce week-end.
Il a déclaré: «Notre priorité est de ramener les enfants à l’école en toute sécurité. À chaque étape, nous avons écouté les derniers avis médicaux et scientifiques.
«Nous avons donc décidé de suivre les nouveaux conseils de l’Organisation mondiale de la santé. Dans les zones de confinement locales, les enfants de sept ans et plus doivent porter des masques faciaux dans les espaces communs.
« En dehors des zones de confinement locales, les couvertures faciales ne seront pas nécessaires dans les écoles, bien que les écoles auront la flexibilité d’introduire des mesures si elles estiment que cela convient à leurs circonstances spécifiques.
«J’espère que ces mesures permettront aux parents, aux élèves et aux enseignants de se rassurer davantage.